Au Bénin et au Niger, CARE accompagne et soutient les parents et leurs filles. Chaque jour qu’une fille de plus puisse aller à l’école et vivre en sécurité est une petite victoire.
Au Niger, 7 filles sur 10 sont concernées par le mariage précoce, contre 3 sur 10 au Bénin. Ce phénomène s'accompagne d'un nombre de grossesses précoces dramatiquement élevé. Chacune de ces grossesses est synonyme d'abandon scolaire et expose les filles aux risques médicaux élevés qui accompagnent les grossesses précoces. Pire, le désespoir conduit parfois ces jeunes filles jusqu’à l'avortement, qui est l'une des principales causes de décès chez les filles âgées de 15 à 19 ans.
Avec votre don, vous pouvez faire une grande différence dans la vie de ces jeunes filles, et ce de manière très concrète. Grâce à nos interventions, elles deviennent plus fortes et sont respectées et protégées au sein de leur communauté.
Votre don est précieux. Grâce au soutien du ministère luxembourgeois des Affaires étrangères, ce don peut être multiplié par cinq, ce qui amplifie significativement son impact.
Exemples de dons
“Colis école des maris”
50 euros
aident p.ex. à mettre en place des « écoles de maris », dans lesquels les jeunes et futurs maris sont sensibilisés sur la vie en couple, les conséquences des grossesses précoces et de la violence etc.
“Colis soins médicaux”
100 euros
contribuent p.ex. à la formation des volontaires de santé des villages qui peuvent ainsi mieux prendre en compte les besoins médicaux des filles, qui sont, en règle générale, négligés.
“Colis clubs de jeunes”
180 euros
permettent p.ex. de créer des associations de jeunes qui offrent un encadrement, un repère sûr pendant les vacances scolaires et des formations qui leur permettent de se faire entendre.
The Girls' Effect
"Depuis qu’on réalise ce projet, on constate que les cas de grossesses précoces ont progressivement diminué. Il s’agit aussi de renforcer l’estime des filles pour qu’elles aient confiance en elles et connaissent leurs droits pour s’opposer à la violence sexuelle dans le cadre de l’école et en dehors."
Constantin, de CARE Bénin, facilitateur des groupes de jeunes.
Was bedeutet der „Girls’ Effect“ von CARE?
Besonders Mädchen sind der Gefahr ausgesetzt, die Schule viel zur früh verlassen zu müssen, mit dramatischen Folgen für ihr eigenes Leben, sowie auch für das der nächsten Generation.
Jeder Tag, den Kinder länger die Schule besuchen können, ist ein kleiner Sieg für unsere CARE-Helfer im Niger und in Bénin.
Für dieses Ziel mobilisieren Sie die gesamte Familie und die Dorfgemeinschaft.
Dank der Unterstützung aus Luxembourg, können sie Mädchen vor Gewalt, Kinderhochzeiten- und schwangerschaften schützen. So können sie länger in die Schule gehen. Wir setzen uns dafür ein, dass auch Mädchen das Recht auf eine Gesundheitsversorgung haben. Sie sollen selbstbewusst durch ihr Leben gehen. Gelingt dies, bestätigen uns die Väter, die Dorfältesten und die religiösen Führer, wie schnell sich das Leben in der gesamten Gemeinde zum Positiven verbessert.
Mit Ihrer Spende tragen Sie direkt dazu bei, das Leben der Mädchen zu verbessern.
Les enfants de mères ayant reçu une éducation ont 50 % plus de chances de survivre jusqu'à l'âge de 5 ans
Au Bénin et au Niger, les équipes interviennent dans les régions les plus vulnérables. Les statistiques au Bénin expliquent pourquoi notre intervention est si importante : 88 % des jeunes sont d’avis qu’il est justifié d’être punie physiquement.
Les complications liées à la grossesse précoce, à l‘accouchement et aux avortements sont l’une des principales causes de mortalité chez les filles de 15 à 19 ans. Le pourcentage des jeunes qui connaissent des méthodes contraceptives se situe entre 0 et 5 %.
Grâce à vos dons, CARE Luxembourg met en place des associations de jeunes qui leurs donnent un repère sûr et encadré pendant les vacances.
"Ce centre de jeunes a apporté beaucoup de changements importants à notre commune. Avant, pendant les vacances scolaires, il y avait beaucoup de grossesses parmi les élèves. Cette situation force les filles à quitter l’école. Il y en a d’autres qui avortent et qui meurent. Avec le centre, la situation a changé. J’ai moi-même inscrit mes enfants dans le centre."
Gauthier, Chef d'un village au Bénin.
